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Reportage de pêche

La Maronne à Salles le 01 Avril 2001... pas de poisson ...

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Synthèse

Le

01 Avril 2001

Rivière

Maronne

Lune

 

Lieu

Salles en amont St Martin Valmeroux

Vent

Très léger (<1) W puis NW

Temps

Ensoleillé, gelée blanche le matin, très chaud après 11h

Eaux

Claires, eau de neige

Niveau

Hautes et encore fortes, Début de décrue

Insectes

Rares baetis

  quelques "hélicoptéres" que je ne connais pas encore

Oiseaux

Cingle, bergeronnettes

   

Gobages

aucun

type

 

Juste pour le plaisir de retrouver la rivière, un coin facile à pêcher, assez fréquenté.

Juste en amont de Saint Martin Valmeroux, bien en aval du Puy Violent, sous les côtes de Salers, la Maronne est encore très propre, elle s’élargie depuis peu et serpente en fond de vallée en alternant les plats et les rapides.

On y trouve régulièrement de beaux poissons (25à 30 centimètres, ce qui n’est pas mal si près des montagnes), bien peuplée aussi en vairon, goujon etc… une équipe locale qui essaye d’entretenir au mieux (enrochement, nettoyage).

La "maille" est à 23 Cm depuis sa confluence avec l' Aspre à Fontanges (village à visiter, tres beau et bien moins touristique que le (trop ?) célébre Salers.

Une légende locale parle d’une « truite d’au moins un  mètre qui mange les canetons » elle serait dans le « trou » effectivement assez profond. Un jour d’été j’ai entendu puis vu le remous d’un énorme gobage, …  et rêve aussi de la « truite d’un metre qui mange les canards »

Pour aujourd’hui : Rien, aucun gobage, aucune touche.

Mais la rivière est toujours aussi belle, deux cingle l’ont remontée à toute allure, les bergeronnettes étaient très actives, seules quelques vaches sont dans les prés (sans cloches : elles n’en ont pas dans la vallée, cela dérangeait les touriste de l’hostellerie voisine … quelle tristesse !)

Les courants sous la chaussée recelent d'habitude de nombreuses petites fario, parfois des belles. aujourd'hui le trop d'eau rend la pêche infructueuse
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"Le grand trou" où se cache "la truite qui mange les canards"

 

  • 4 pêcheurs rencontrés : un au vairon, deux moucheurs et un au toc, très peu de « locaux » ce qui confirme que les conditions n’étaient pas favorables
 
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